-25% Une fois par an pour tous ! (trajet à réserver et > 200km)
Selon cette étude il "suffirait" d'ajouter une goutte de liquide vaisselle (un tensio-actif) pour que le goutte à goutte du robinet soit silencieux (si c'est pas l'évier en inox lui-même qui résonne sous l'impact de la goutte, évidemment).
A tester, parce que si c'est valide, c'est juste un life hack super utile !
Je vois une bonne vie un peu comme un jeu vidéo :
En bref, savoir faire un usage astucieux de ce qui passe à notre portée (outils, situations, personnes), entretenir des liens, se lancer dans des défis et des batailles à notre mesure, rester curieux. Chercher à faire le bien, pour soi et pour les autres. Le bonheur doit être recherché partout : dans les petits instants comme dans les grands moments, dans les victoires comme dans les échecs, en famille, au travail, avec les amis et même avec des inconnus, ne pas oublier qu'il provient avant tout de nous même, de notre façon d'appréhender le monde (et nous-même dedans, évidemment). Savoir provoquer la chance, accepter ce qui ne vaut pas d'être combattu, saisir les opportunités. S'intéresser à tout et à tous, mais dans un ordre judicieux qu'on remettra toujours en cause.
Regarder ce qui va bien dans la vie. Exemple : repérer et noter 3 kifs chaque jours.
Choisir ses combats. Il y a bien trop de trucs qui ne tournent pas rond. Mais on a qu'une vie et des moyens limités. Baisser les bras n'est pas une solution satisfaisante. Il faut donc sélectionner des combats à sa mesure. Choisir ceux où l'on a le plus de valeur ajoutée.
Peut-être un peu extrême et sans doute exagéré.
Mais un réflexion intéressante et à creuser.
Sounds just obvious. Mais putain, c'est pas faux !
Clous de girofle, café moulu, huiles essentielles... à tester.
Intéressante idée (comme d'hab chez Ploum). J'avais déjà identifié la vertu de la simplification de l'environnement de vie ainsi que l'effort supplémentaire que demande le choix extensif.
Mais je ne l'avais pas formalisé tout cela ni n'avait poussé la logique jusqu'à remarquer que l'abaissement du nombre de possibilités pourrait mener à une sensation de "plus" de choix.
Maintenant faut tenter la mise en pratique.
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L'étude de tribus "primitives" ("ancestrales" dirait un évolutionniste) a révélé que beaucoup de ces société ont un système numérique réduit souvent équivalent à : "un, deux, trois, beaucoup". Car notre cerveau est optimisé pour compter et se représenter les petites quantités. Si l'utilité de jauger finement les petites quantités est évident : 2 loup, c'est pas dangereux, 5 ça l'est. Jauger finement des grandes quantités semble moins utile : 33 ou 37 loups, OSEF, faut juste prendre ses jambes à son cou.
De manière parallèle le cerveau humain semble capable de comparer efficacement 2 ou 3 alternatives. Pas 10 et encore moins 57.
J'ai longtemps bêtement cru que plus de choix = plus de liberté, maintenant je ne peux que le constater : il y a un seuil au delà duquel avoir plus de choix importe peu. Mais le chemin est encore long avant que je n'apprenne réellement à choisir.
Au sujet des embouteillages sur l'autoroute, il est vrai que dans certains types d'embouteillages, il est totalement contre productif de changer de file mais... ce n'est pas un cas général. Et j'aurai même tendance à dire qu'il s'agit d'un cas particulier.
Tout d'abord, les conditions pour obtenir un embouteillage où il ne sert à rien de changer de file :
Si ces 2 conditions ne sont pas remplies, le flux devient hétérogène, et certaines files avancent plus vite.
Je le vois chaque matin en particulier sur le périphérique de Paris.
Les obstacles sont les sorties et les entrées car les dans tous les cas, les usagers ralentissent et changent de file à leur approche (un genre de frottement) ; quand la sortie n'est pas complètement saturée. Les ralentissement sont alors systématiquement localisés au même endroits, sur les même files. Avec parfois des différences de plus de 50km/h entre des files adjacentes. Connaitre le trafic peut facilement faire "gagner" 3 à 5 sur une traversée de 10 à 15 minutes, ce qui n'est pas du tout anodin sur un trajet quotidien (genre 3min * 200 = 10h gagnées par an :).
Les entrées et les sorties sur le périph sont toutes situées à droite de la chaussée. D'où une asymétrie qui se répercute sur le flux des véhicules. De plus elle ne concerne que certains usagers : il y a ceux qui sortent et ce qui restent sur le périph ou encore ceux qui entrent et ceux qui y sont déjà. Cela ne fait que rajouter à la dissymétrie de la situation.
On observe généralement une zone ralentie immédiatement en amont de la sortie, sur les voies de droite. Cela provoque encore en amont des changements de file avec report du trafic sur les voies de gauche. Ce "frottement" provoque une "seconde" zone ralentie en amont de la première, sur les voies de gauches !
Le conducteur agile n'a plus qu'à entrer dans la zone perturbée par les voies de droite, traverser vers la gauche à quelques dizaines de mètres de la sortie bouchée pour éviter les 2 zones de ralentissement (ou du moins les traverser rapidement).
Les entrées sont encore plus dissymétriques car les véhicules entrants prennent de la place dans le flux (alors que dans la sortie, il s'agit seulement d'un ralentissement des usagers pour aborder la sortie). Ce qui fait que la file tout à droite est quasi stoppée net si le flux entrant est suffisamment dense. Les conducteurs le savent et se rabattent à gauche plusieurs centaines de mètres parfois avant l'entrée. La voie de droite est désertée et les petits malins y restent le plus longtemps possible avant de se rabattre à gauche, ce qui contribue encore à ralentir les voies de gauche.
Cependant toute cette belle mécanique ne fonctionne que lorsque le débit d'alimentation n'est pas trop important par rapport aux débits de passage des obstacles : le même tronçon de périph, lors de la pointe de fréquentation du matin, est fréquemment complètement saturé. Les files se compressent, rester sur sa file reste le mieux pour soi et pour les autres.
Mais même dans un embouteillage "compressé" où le flux est "laminaire" (toutes les files avancent globalement au même rythme), le flux n'est pas totalement homogène. A quelques dizaines/centaines de mètres de l'obstacle (dépend du débit de passage et du nombre de voies), des perturbation apparaissent.
Exemple sur une 4 voies avec un obstacle qui barre les 2 voies de droite : La voie tout à droite va accélérer à l'approche de l'obstacle alors que les 3 voies de gauche restent globalement homogènes et ralenties.
Pourquoi ?
Si les véhicules respectaient scrupuleusement leur ordre d'arrivée au niveau de l'obstacle pour passer, le flux resterait homogène. Mais ce n'est pas le cas : les reports sur les voies de gauche s'étalent sur plusieurs dizaines voire centaines de mètres (certains usagers anticipent à mort tandis que d'autre attendent le tout dernier moment). Ce comportement est à la base de la dissymétrie dans le flux qui accélère la voie de droite.
Et ce qui est magique c'est que cela fonctionne parfaitement à très faible vitesse alors même que localement les usagers se comportent de façon équitable (par exemple en laissant passer une voiture de l'autre voie avant soi (la loi du "un sur deux")). Car même si localement l’équité (et donc la symétrie) est respectée (ce qui devrait induire de l'homogénéité), le fait que les usagers l'appliquent à plus ou moins grande distance de l'obstacle fait que la voie qui "donne" accélère (elle se vide de façon anticipée) alors que la voie qui "reçoit" ralentit (elle se remplie de façon anticipée). Ce phénomène est particulièrement visible sur les rétrécissement de voie qui passent de 2 à 1 voie. Il vaut toujours mieux aborder un tel rétrécissement sur la voie qui rejoint l'autre plutôt que l'inverse. Tout ça à cause des gens qui se rabattent trop tôt... ah ah, ils l'ont bien cherché.
Si votre pile rebondit, c'est qu'elle n'a plus beaucoup de charge.
Un site qui réunirait :
Contre les personnes toxiques (c'est-à-dire les personnes qui, par leur attitude ou comportement, voire même leur simple présence, nous rendent mal à l'aise, nous frustrent, nous irritent, bref, nous pourrissent la vie), un conseil à suivre : NE PAS SE JUSTIFIER.
Concrètement, cela signifie :
De cette façon on se rend non-manipulable. On reprend le contôle.
Y'a ceux qui marchent et ceux qui marchent pas.
Où l'on voit concrètement que le prix n'a vraiment que très peu avoir avec la valeur...
La technique de Hidden City consiste à repérer les vols longs avec escale (qui peuvent être moins chers, car moins demandés que les vols directs vers la même destination) pour descendre à l'escale. Faire ce travail à la main est particulièrement fastidieux, mais avec un bon outil...
Base de donnée pour aider à la détection de contrefaçon. A utiliser en cas de doute sur le revendeur !