Les tardigrades possèdent 17,5% d'ADN "étranger" (soit plus de 6000 gènes provenant en majorité de bactéries). Actuellement un record chez les animaux.
La principale voie d'entrée pour ces gènes se placerait lors de la réhydratation après un épisode de sécheresse : la membrane nucléaire est provisoirement perméable alors que l'ADN disloqué est en cours de réparation.