L'étude sur les sodas sucrés et la puberté des jeunes filles me fait quand même pas mal penser au "biais de corrélation" : penser qu'il y a un lien de causalité alors qu'il n'y a qu'une corrélation. La réponse tourne sans doute autour des œstrogènes de synthèse et la consommation de sodas sucrés n'est sans doute qu'un marqueur sans lien corrélé à une haute exposition à ces œstrogènes synthétiques (une alimentation largement basée sur des pré-cuisinés/produits industriels souvent emballés dans les films plastiques ?).
Mais bon, les chercheurs ne seraient pas tombés dans un piège si banal, si ?