Comme d'habitude Ploum nous livre une analyse pleine de bon sens.
Actuellement ma méthode comporte 3 volets :
L'inbox 0. C'est vraiment la base pour enlever cette impression d'être submergé. Il faut de la rigueur, c'est-à-dire se forcer, dès le matin alors que le brouillard ne s'est pas encore tout à fait levé dans la tête de se demander pour chaque mail : ai-je une action à faire ? (Oui -> Réponse immédiate si possible ou reste en "non lu" si l'action prend du temps) Dois-je attendre un retour puis répondre (= pas d'action immédiate de ma part, mais attente d'une réponse d'autrui) ? (oui -> reste en "lu" ; non -> archive/poubelle) A renouveler au cours de la journée à chaque parcours de l'inbox.
Les tâches importantes et urgentes => dans une todo papier. Alors ouai, c'est moche et peu flexible mais finalement c'est peut-être un avantage : au bout de quelques jours, il faut prendre un nouveau papier et recréer la liste. A cette occasion il est plus facile d'identifier les "pas-si-importants-que-ça" et de les abandonner (par rapport à un outil logiciel où repousser une tâche indéfiniment ne coute strictement aucun effort et est très délétère, comme l'indique Ploum).
Les tâches non urgentes => dans mon agenda. De toute façon si elle trainaient dans une todo, elle ne serait jamais faite (et ce serait encore une fois délétère), comme le dit encore Ploum.