Oui, le pouvoir corrompt.
Il y a ceux qui ont le pouvoir et qui se font corrompre avec plus ou moins de résistance.
Et il y a les autres. Ceux qui par choix ou par défaut n'ont pas le pouvoir.
Cela reprochent aux premiers leur corruption. C'est leur droit et surtout, c'est leur devoir dans une démocratie.
Là où tout ça devient glauque, c'est ce moment où ceux qui ont le pouvoir et sont corrompus écrasent (au figuré voire au propre) sans merci leurs accusateurs au lieu d'accepter humblement qu'ils ont joué et qu'ils ont perdu.
C'est vraiment à ce moment là que le jeu tourne au vinaigre et que toute la crasse et la pourriture de la nature humaine se révèle.