J'avais entendu parler de la tragédie des communs dans le cas du logiciel libre. Mais en fait j'avais pas réellement compris de quoi il s'agissait. Maintenant je vois bien. Le parallèle avec les licences est saisissant. La seule différence est qu'un logiciel ne se dégrade pas du fait de "passagers clandestins". Ce qui fait des espaces végétalisés des endroits encore plus instables (en revanche la barrière à l'entrée est sans doute plus basse pour les espaces végétalisés, un arrosoir est plus simple à utiliser qu'une bibliothèque logicielle).