Branche des sciences qui s'intéresse au vivant.
Le derme des vertébrés est très souvent porteur de structures supplémentaires (poils, plumes, becs, ongles, cornes, etc). On peut regrouper la plupart de ces structures en 2 groupes principaux suivant leur composition :
A côté des ces structures, on trouve chez les invertébrés deux autres grandes classes de structures externes :
On remarque un parallèle intéressant à propos de ces structures particulières : de chaque côté on a des structures rigides mais relativement cassantes en carbonate de calcium (os/coquille) et l'alternative flexible (kératine/chitine).
NB : chez les végétaux, les structures rigides sont principalement réalisées grâce à la cellulose et à la lignine. Cependant on retrouve aussi des structures rigides à base de silice (frustules des Diatomées) ou encore des incrustations d'opale (SiO2, nH2O) dans les parois cellulaires lignifiées (assez massif chez les prêles (→ 7%) et chez les Poacées (→ 10% chez le bambou)).
IL existe en gros 2 modèles thermiques chez animaux : les ectothermes et les endothermes : ceux qui puisent la chaleur dans leur environnement et ceux qui la produisent.
Ces deux modèles résultent d'un trade entre :
Hypothèse sur l'évolution de l'endothermie : c'est le passage par des animaux de grande taille qui a permit de développer l'endothermie. En effet, les grands animaux profitent d'une réduction de leur rapport volume/surface ce qui entraine une déperdition de chaleur. Ce mécanisme est nommé gigantothermie. Chez ces animaux, la température est donc maintenue relativement stable par le métabolisme habituel de la bête. Ce sont ces conditions qui auraient posé les bases de l'endothermie (caractérisée principalement par l'homéothermie). Si les moineaux sont homéothermes, c'est sans doute parce qu'ils ont eu des ancêtres gigantesques.