Bon article sur les abeilles dites "solitaires"
Une espèce de lézard qui a un dimorphisme sexuel extrême : 3 formes mâles dont les populations relatives varient selon un cycle de 4 à 5 ans selon une logique "pierre papier ciseaux". Truc de ouf
Famille des charançons (coléoptères), caractérisée notamment par leur "museau" : leur bouche et son appareil broyeur est projeté en avant de la tête. Les antennes s’insèrent sur ce museau. Généralement phytophages et régulièrement inféodé à une espèce végétale en particulier. Constitue probablement la famille la plus large du règne animal avec sans doute plus de 200K espèces différentes.
Les mouches qui "gonflent" leurs têtes pour écarter le plus possible leurs yeux.
Insecte
Toxicité différentielle des Néonicotinoïdes (Insectes vs mammifères) : la charge partielle δ- portée par les groupements nitro ou cyanodes insecticides est reconnue par les récepteurs des insectes mais repoussée par ceux majoritairement présents chez les mammifères: 2β4α
Le cerf huppé avec ses longues canines
La science s'intéresse depuis peu à l'orgasme féminin (pas trop tôt). Et voici les premiers constats du point de vue évolutif.
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Beaucoup de mammifères actuels et a priori les mammifères ancestraux ont un rythme de fertilité saisonnier et les femelles n'ovulent qu'après le coït. Ce sont des espèces à accouplement "rare". La où cela devient intéressant c'est que chez ces espèces l'ovulation est déclenchée par le système clitoris/cerveau. Or on remarque que chez ces espèces, le clitoris est à l'intérieur du vagin, pas à l'extérieur. Le lien coït/"orgasme"/ovulation est très fort. Chez l'Homme et tous les mammifères qui ont adopté le cycle menstruel, qui est fortement lié à la vie social avec des représentants des deux sexes dans le même groupe (et donc des occasions d'accouplements très régulières), on remarque que le clitoris est ressorti du vagin et que l'orgasme ne lie plus du tout le coït à l'ovulation (puisqu'elle est cyclisée).
Les études suivantes apporteront de nouveaux constats et de nouvelles théories.
Une nouvelle piste de recherche : exploiter les structures en cellulose des plantes comme support de culture pour des cellules humaines.
Une carte des chemin bio-chimiques du vivant. Pfiou.
Via Timo.
La spécialisation des organites dans les cellules, et notamment les doubles parois des organites d'origine symbiotique comme la mitochondrie sont en fait des caractéristiques primordiales pour l'amélioration métabolique. D'où le succès des eucaryotes et peut-être leur suprématie : on ne trouve aucune trace d'une seconde évolution indépendante de l'eucaryotisme alors que c'est un clade qui marche du tonnerre.
La beauté du vivant... ou comment des parasites génomique (des introns) deviennent des capteurs moléculaires pour la réponse immunitaire de l'hôte face à l'attaque parasitaire...
Une super éruption qui a eu lieu il y a 75000 ans sur l'ïle de Sumatra et qui aurait entrainé un changement climatique majeur mais temporaire (1000 ans).
Certains archéologues pensent que cette catastrophe a eu un impact majeur sur les homininés (disparition d'espèces et restriction de l'Homo sapiens à un population réduite à quelques milliers d'individus), ce que d'autre nie. Bref, sujet à polémique.
Franchement, c'est un terrain sacrément glissant. Et au début, j'ai bien cru que l'auteur allait choir.
Et ben non. Cet article vaut amplement le coup d'être lu. Jusqu'à la fin. Ne lire que le début serait vraiment du gâchis.
tl;dr : pas mal d'espèces de mammifères et oiseaux marins sont des assassins d'enfants, des violeurs et des nécrophiles ; la nature, c'est pas ce truc idéalisé où tous le monde est bisounours, mais inutile de chercher à juger tout ça sous un angle moral : ça n'a juste aucun sens.
D'ailleurs, j'y pense, les scientifiques ont commencé à étudier les personnalités des animaux. Ils vont bientôt tomber sur des personnalités "détraquées" : violeurs, agressifs, pervers, etc... Dans 20 ans les animaux domestiques auront sans doute leurs psys. Et je ne doute pas que des esprits torturés tentent la psychanalyse...... -_-
Des œufs bleus iridescents. Oui oui.
17.5% de son ADN est d'origine externe (bactéries, archées, plantes, champigons...). 6000 gènes.
Un homme immunodéprimé (cause VIH) a développé une tumeur à base de cellules de Ténia.
Aussi appelé Sarcome de Sticker ; une tumeur transmissible du chien.
Les tardigrades possèdent 17,5% d'ADN "étranger" (soit plus de 6000 gènes provenant en majorité de bactéries). Actuellement un record chez les animaux.
La principale voie d'entrée pour ces gènes se placerait lors de la réhydratation après un épisode de sécheresse : la membrane nucléaire est provisoirement perméable alors que l'ADN disloqué est en cours de réparation.
Le documentaire "Le monde fascinant des créatures lumineuses" (passé sur Arte) m'a fait pensé au design que pourrait prendre un Organisme Designé par l'Humain (ODH ?) qui servirait à l'éclairage publique :
Il se présenterait sous la forme d'une lame de bois à croissance horizontale (sur ses bords) et limitée (la lame s'arrêtera de grandir une fois arrivé à 1m de diamètre). Des racines adventives sont émises par la face inférieure. Ces racines, lorsqu'elles sont juvéniles, sont dotées du même mouvement d'oscillation et d'enroulement que les tiges des plantes grimpantes comme les glycines par exemple. Dès que la racine s'enroule autour d'un support, sa croissance est boostée jusqu'à ce qu'elle trouve le sol et s'y enfonce.
L'apport d'énergie est réalisé par la face supérieure photosynthétique chlorophyllienne. Le sucre produit en journée et stocké dans des organes de réserve est consommée par les protéines bioluminescentes de la face inférieure dès que la nuit tombe.
De cette manière il "suffit" d'empaler un morceau de cet organisme sur une tige plantée dans le sol. Les racines vont s'enrouler sur la tige et s'enraciner.
La lame va croitre horizontalement jusqu'au diamètre déterminé et ce "lampadaire" biologique va s'allumer tous les soirs !
Le fait de limiter la croissance permet de contrôler la taille et la forme précisément ce qui permet de ne pas "gâcher" de l'énergie à faire des branches et/ou des feuilles qu'il faudrait tailler pour consacrer toute l'énergie possible à l'éclairage. La seule maintenance sera donc de remplacer les individus "cassés" (mécaniquement) / vieux / malades. Pas de taille ou de ramassage de feuilles. Pas de câble à tendre pour l'alimentation électrique et donc pas de facture énergétique.
Tous les "aspects" de cet organismes se trouvent dans la nature. Il reste à assembler le tout à grand renfort de génie génétique !
Aquilegia eximia attire et englue des arthropodes qui servent de nourriture à d'autres arthropodes chasseurs et charognards qui en retour la défend contre son pire ennemi : la chenille de Heliothis phloxiphaga. Encore plus "futé" que de nourrir directement ses acolytes !
Ah ah, est-ce que c'est ce 3e qui aurait pu inspirer les philosophies orientales ?
Un genre de "fossile vivant" du côté des reptiles. Muni d'un œil pariétal plus prononcé que la moyenne.
Il en suit qu'une stratégie d'adaptation basée sur la sélection naturelle intègre la mort dans son mécanisme. Jusqu'à s'en servir activement :
En brassant les allèles, on obtient statistiquement certains individus plus adaptés et d'autres moins. On augmente les chances de fournir au crible de la sélection certains individus de meilleure qualité. Au prix d'autres individus de moins bonne qualité. Individu livrés à la mort. C'est le premier lien entre adaptabilité spécifique et mort individuelle.
Pour brasser des allèles, il faut une phase diploïde (au moins partielle). Avec une phase haploïde. Des cellules haploïdes qui fusionnent. Une méiose. Il faut également pouvoir séparer les gènes pour mélanger les allèles.
Pour ce faire, il existe 2 façons :
Les séparer de façon permanente : sur plusieurs chromosomes.
Les séparer seulement le temps de mélanger les allèles : c'est la recombinaison.
Pour la méiose avec plusieurs chromosomes, il faut pouvoir donner à chaque cellule fille 2 lots complets et seulement complets. Que chaque gamète haploïde soit complète, sans supplément. Il faut donc compacter les chromosomes (d'où la chromatine). Il faut pouvoir les manipuler (les rassembler par paire puis les dissocier équitablement), d'où le centromère.
La fusion des phases haploïde constitue la phase sexuée.
En combinant 2 individus plus adaptés on a encore plus de chance de produire de très bonnes combinaisons. C'est là qu'intervient la sélection sexuelle.
S'il est tout à fait possible de fusionner 2 haploïdes similaires ("unisexes"), il est souvent plus avantageux de fusionner 1 gamète "lourde" qui contient beaucoup de réserves énergétiques avec 1 gamète mobile, légère mais manquant de réserves. Cette différenciation entraine l'apparition des sexes (y compris hermaphrodites).
Pour s'adapter vite à un environnement très variant, il faut se reproduire vite. Les vieux individus auront tendance à être moins adaptés. Une espèce qui s'adapte vite n'a donc pas intérêt à conserver ses vieux individus. L'inclusion d'une horloge biologique qui laisse peu à peu la dégradation des mécanismes de nettoyage/réparation cellulaire affaiblir l'individu n'est pas négative et peut même être sélectionnée positivement. C'est le vieillissement. C'est le second lien entre adaptabilité spécifique et mort individuelle.
Le corollaire est qu'une évolution lamarckienne produirait des individus "immortels" dans le sens où tout serait fait pour prévenir la mort alors que la sélection naturelle cherche à la contrôler pour maximiser ses effets.
C'est donc un argument en faveur de la sélection naturelle comme moteur de l'évolution.
La création d'un processus de sélection différent ouvre donc la voie à l'immortalité.
La beauté de la sélection naturelle est qu'elle ne nécessite pas de capacité de calcul extrinsèque. Elle est autonome et consubstantielle à la vie. En effet, elle se met en action dès que des reproducteurs imparfaits meurent dans un environnement aux ressources limitées (ce qui arrive "forcément" dans notre univers connu).
Ce qui est marrant c'est qu'elle est parvenue à produire de la capacité de calcul en quantité sans doute suffisante pour la remplacer. Au moins une fois.
Si elle est capable de le faire de façon régulière, il est probable que des espèces immortelles se baladent dans les cieux.
Une autre conclusion est aussi qu'on a de grandes chances de trouver des êtres vivants pluricellulaires diploïdes,mortels, avec plusieurs chromosomes différents, pratiquant la reproduction sexuée avec types mâles et femelle. (Bien plus d'ailleurs que de trouver des êtres immortels unisexes.) Et des êtres vivants unicellulaires qui ont bien plus de stratégies pour varier.
Les chimpanzés ont le goût pour le cuit et nos ancêtres l'avaient sans doute déjà avant de maitriser le feu :)
Un champi parasite qui infecte d'abord les feuilles, les métamorphosant en simulacres de fleurs, qui se font butiner. Les pollinisateurs ramassent des spores qui germent sur les stigmates des fleurs, mais n'infectent pas grossièrement les organes : ils se comportent comme des grains de pollen originaux pour descendre jusqu'aux ovules et infecter les fruits eux-mêmes, qu'il utilise comme vaisseau pour son sclerotium.
Pas mal, petit fungus.
Hum, on se raproche des viri ?
Moisissure rampante jaune
La Crevette-Mantes, ce truc de Ooooouuuff !
Quelques organismes intéressant de part leur longévité ou leur ancienneté.
Couleur non pigmentaire. Irridescent
Peut imiter serpent corail, dragon fish, fander, etc
Des pieuvres capables de mimer PLUSIEURS autres créatures différentes... énorme !
biomimétisme robotique
Fougère myrmécophile
Broméliacées
Broméliacées Tillandsia Vriesea Neoregalia
Arachnide capable de synthétiser des caroténoïdes. Transfert horizontal de gènes depuis un champignon.
Puceron, caroténoïdes et phototrophie
Limace de mer photosynthétique
Longévité
mangeur de plastique